Prologue du livre :

« L'homme vit aussi longtemps qu'on se rappelle de lui. » David Gouramishvili

Les personnes que nous rencontrons et avec lesquelles nous parlons ont une vision très singulière de la vie d'une « princesse impériale ». Pour elles, c'est quelqu'un à qui tout sourit, dont le chemin est semé de pétales de rose, qui va de réception en réception, tout en faisant la une des journaux ; autrement dit quelqu'un à qui tout semble réussir.
Or il se trouve que je suis une princesse impériale, appartenant à la Famille ottomane, fille d'un prince impérial descendant d'une longue lignée de Sultans. Et même si depuis 1924 les miens sont en exil, même si l'Empire de la Sublime Porte a été démantelé, je ne porte pas ce titre comme une décoration mais comme un honneur, l'honneur d'une dynastie trop mal connue en Occident, qui l'a souvent caricaturée alors que ce fut, sans doute, l'une des plus humaines et des plus tolérantes.

     Vous pouvez le trouver sur Amazon, en version Ebook et Kindle : 

 

 

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Presentation du livre sur la télévision turque

 

Des Rives du Bosphore aux montagnes géorgiennes, le récit d'un parcours incroyable et semé d'obstacles, pour l'amour des enfants, pour l'Amour de Tatiana. Son Altesse Impériale la Princesse Nilufer Sultane, issue de l'aristocratie russe et géorgienne, est la descente directe de la famille Ottomane des Osmanlis. Très engagée dans l'aide humanitaire depuis trois ans, elle est à l'origine d'un projet d'orphelinat destiné à accueillir des enfants palestiniens et israéliens. Elle vit en Suisse.

 

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